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Dans un article publié le 1er février dernier, Les Echos font le point sur l’état actuel et le potentiel du secteur récupération de chaleur fatale en France. L’article, complet et documenté, se base notamment sur l’étude publiée en juin 2018 par l’ADEME, qui mettait en lien les sources de chaleur de récupération, et les réseaux de chaleur locaux. L’approche géographique était notamment au coeur de ce travail qui a été décryptée par la coordinatrice technique de sa rédaction, Marina Boucher, lors de la semaine de la chaleur renouvelable, organisée en décembre dernier à Paris par Amorce, et au cours de laquelle Kyotherm est intervenue sur plusieurs sujets.

Les compétences techniques, juridiques, et financières de Kyotherm soulignées dans les projets de chaleur fatale

Les Echos soulignent notamment la complexité des projets de chaleur fatale, liée à la multiplicité des aspects à mettre en lien, de type juridiques, techniques, et financier. Il mettent en particulier en avant le positionnement de Kyotherm, qui rassemble les compétences nécessaires à optimiser le montage de tels projets de récupération de chaleur fatale.

Extrait de L’exploitation de la chaleur fatale arrive doucement à température dans l’industrie (Les Echos, 1 févr. 2019)

La chaleur fatale peut donner largement de quoi faire aux industriels. Pourtant, ceux qui franchissent le pas sont encore peu nombreux, car son gisement est loin d’être exploitable partout dans des conditions économiquement viables. Seulement 17 TWh sont à une distance raisonnable d’un réseau de chaleur, le débouché le plus sûr. La rentabilité d’un projet de récupération de chaleur sur site propre, au profit d’un processus industriel, elle, est acquise en deux ans.

« La prise de décision n’est pas aisée, car il s’agit d’opérations souvent complexes. Les industriels y vont rarement seuls », indique Marina Boucher. Des sociétés comme Kyotherm […] prennent position sur ce marché dont l’approche nécessite de solides compétences techniques et juridiques.